Au-delà des « accords Sykes-Picot », cet aristocrate catholique rêvait d’émanciper et de réconcilier tous les peuples de l’ancien Empire ottoman. Cent ans plus tard, ses intuitions n’ont rien perdu de leur force.
Cela fait quarante ans que Riyad lance des « plans de paix » au Proche-Orient. Pour masquer les contradictions de sa politique étrangère. Et celles des Américains.